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D'étranges rêveries : Ailleurs
22 avril 2005

Un envoûtant après-midi

Ne sachant que faire, cet après-midi, je me suis mis mes CDs de Véronique Sanson (de toute époque !) et je me suis donc aussitôt allongé sur mon lit pour profiter pleinement de ce moment si envoûtant ... Ce sont de si belle chansons ... Cette femme a une véritable histoire, et ces textes et ses musiques racontent vraiment sa vie ! Elle a tout écrit dans ses chansons ! C'est impressionnant !

Quelques textes :

Le maudit

Quelque part dans la ville

Tu marches

Sans pour autant savoir où tu vas.

Tu repenses à ta vie

Déjà

Tu comptes combien de gens tu as déjà trahi

Combien de gens à qui tu as déjà menti

Combien de gens à qui tu as déjà fait souffrir

Et du fond de ton remords

Tu l'aimes encore.

Tu es prisonnier de ton secret,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute.

Tu es mal dans ta peau.

Tu pleures,

Sans pour autant être jamais consolé.

On rit derrière ton dos.

Laisse faire.

Tu te sens seul dans celle ville de rien.

On rit derrière ton dos.

Mais au fond, qu'est-ce que ça peut faire ?

Toi tu souris à tout le monde,

Tu souris à tout le monde.

Tu es prisonnier de ton secret,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute.

Pauvre maudit.

Comme ta vie doit être une comédie.

Pauvre maudit.

Mais comme ta vie doit être une longue nuit

Pauvre maudit.

Quelque chose dans ta vie s'en va

Dont tu ne sais plus réellement quoi penser.

Tu n'as plus l'étincelle du génie

Tu n'as plus l'étincelle de la vie

Tu es mal dans ta peau.

Ce soir

Soudain tu n'aimes plus ton image,

Même si du fond de ta honte

Tu souris à tout le monde.

Tu es prisonnier de ton secret,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute,

Mais ta douleur efface ta faute.

Pauvre maudit.

Comme ta vie doit être une comédie.

Pauvre maudit.

Mais comme ta vie doit être une longue, longue nuit

Pauvre maudit.

Mais ta douleur efface ta faute, {x8}

Mais ta douleur... efface... ta faute.

Mortelles pensées

Lui, si délicat dans sa tendresse,

Si raffiné dans ses caresses,

Que j'ai tenu dans mes bras

Quand il avait besoin de moi.

Je l'ai quitté pour d'autres mains,

Pour des briseurs de destin

Et des empêcheurs d'exister :

Bien fait pour moi.

Si vous saviez comme je l'aimais.

Plus qu'aucun autre, je l'admirais.

Depuis, dans un brouillard,

Je n'sais plus où je vais,

Et je me rattatine à petits pas.

Et je bous de le revoir

Pour apaiser mon désespoir.

Je voudrais fuir vers d'autres nuits

Et j'ai chanté seulement pour lui

Les souvenirs qui nous ressemblent

Et qui nous hantent

Et qui s'en vont vers le soleil

Lui, qui m'a dit d'un ton vainqueur

qu'il n'y a plus de doute ni de douleur

Dans la musique et dans mon cœur.

Je le tuerais d'avoir pensé ça.

Et s'il y a des choses qu'il ignore,

Il n'a qu'à m'écouter plus fort

Jusqu'à ce que la mort de l'un ou bien de l'autre

Souffle la bulle de nos amours.

Lui, sans qui je ne serais rien au monde,

Je l'aimerais toujours, à genoux.

Je vis ma vie... oh... comme tout le monde :

Le temps dessèche ce qu'il inonde.

Et pour avoir connu l'immonde

Je voudrais vivre le meilleur

Ce qui n'arrive que dans les contes

Qu'on dit sur l'heure

Où notre lune s'en va très haut

Et quand les dieux sont au repos...

Pour écouter un extrait : extrait.mp4

D'autres à venir ...

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Commentaires
L
Et ben je vais t'avouer quelque chose : je n'ai jamais écouté de chanson d'elle en entier !!! C'est pas que je ne l'aime pas mais je crois que ... voilà ... en fait je ne sais pas ... mais je devrait peut-être parce que ses textes sont pas mal !!!
D'étranges rêveries : Ailleurs
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